(French below – Français plus bas)
Recently, I’ve been asked about my artistic “references”. I’ve always found this kind of questions very difficult as I don’t really try to find the source of any idea popping suddenly in my head – though I’m perfectly conscious that quite a few alternative cultures (tattooing, street art and goth to quote the main ones) have a great influence on me and my work.
I’ve been introduced to Odö’s world the same day I discovered the Spacejunk galleries: on a London-Lyon flight where I had the chance to be sitting next to the curator and gallery director Jérôme Catz. His galleries focus on Lowbrow, Street Art and all this kind of artistic expressions born in reaction to what could be considered “elitic” forms. Odö had a show in Spacejunk Lyon, “Cross my heart and hope to die”, where I completely fell in love with his art. Everything, the subjects, the style, the technics and material used, the love for the detail, the reference to the art of tattooing… I embraced everything. So yes, if I had to name one of the artists who influence me, Odö may be the most important of them.
You can discover his work on Facebook and on his blog, he’s much better than me to talk about it.
On m’a demandé récemment quelles étaient mes “références” artistiques. J’ai toujours trouvé qu’il était difficile de répondre à ce genre de questions étant donné que je n’essaye jamais de trouver l’origine d’une idée soudaine – bien que je sois parfaitement consciente qu’un certain nombre de cultures alternatives (tatouage, street art et goth pour ne citer qu’elles) ait une grande influence sur moi et sur mon travail.
J’ai été introduite à l’univers d’Odö le jour même où j’ai découvert les galeries Spacejunk: durant un vol Londres-Lyon où j’ai eu la chance de passer le trajet à côté de Jérôme Catz, directeur et curateur. Ses galeries représentent l’art Lowbrow (ou pop surréalisme), le Street art, et tous ces mouvement nés en réaction à des formes d’art plus “élitistes”. Odö avait une expo qui lui été consacrée à Spacejunk Lyon, “Cross my heart and hope to die“, et j’étais tombée complètement amoureuse de son travail. Les sujets traités, les style, la techniques et les matériaux, l’amour du détail, les références au monde du tatouage… tout me parlait. Donc oui, si j’avais à nommer l’un des artistes qui influencent mon travail, Odö est sans doute le plus important d’entre eux.
Vous pouver découvrir son travail sur Facebook et sur son blog, il parle bien mieux que moi de son propre travail.
J’aime beaucoup le travail d’Odö aussi ♥
Je suis amie avec son cousin mais je n’ai jamais eu l’occasion de le rencontrer >0<
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J’espère que tu en auras l’occasion ! Il aa l’air d’etre très intéressant – en tout cas s’il se met au tatouage j’irais definitivement le voir 🙂
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Alors pas de tatoo pour moi, j’ai la phobie des aiguilles xD
Mais j’adorerais avoir des robes avec ses dessins *w* ♥
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