Portfolio making class #2

(French below – français plus bas)

Do you remember my introductory class at the Glasgow school of art? We were asked to bring an object that we’ll be studying for the following couple of weeks and I chose my brand new cool scientific prop-skull. The least I can say is that studying something we’re genuinely interested in makes things so much funnier! Of course it’s not only a kind of copying class, we’re asked to challenge ourselves and to overcome our fear of making mistakes. The process goes through a lot of excercises such as the “one line drawing” (I’ve been praised for using shadows as lines!) or the “weak hand drawing” (see below).

Our comfort has also been challenged with the handling of long pencils, floor drawing (well, not a challenge for me, I’ve been working on the floor for so long!), the use of sticks with charcoal at the end (why was I the only one who had been given a super-flexible stick?) or dipped in ink, ink-drawing with a folded piece of card, collages from a set we don’t get to pick…

I don’t know if my stuff is any good, but I sure had fun with it! for this set of weeks, we’re working on a black and white junk installation – I’m not sur that’s my favourite kind of work, but we’ll see were it goes, I’ll update you next week!

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Vous vous rappelez de ma première session à l’école d’art de Glasgow ? On nous avait demandé d’apporter un objet à étudier pendant deux semaines d’affilée et j’avais choisi mon tout nouveau crâne scientifique super-cool. Le moins que je puisse dire c’est que c’est bien plus marrant de travailler sur un sujet qui nous intéresse vraiment ! Alors bien sûr on ne nous demande pas de faire de la simple copie mais on nous lance des défis qui nous font nous remettre en question et nous décomplexent face à l’erreur et au dessin moche. On se soumet donc à tout un tas d’exercices du genre dessin à une ligne sans lever le crayon (où j’ai été prise en exemple pour utiliser les ombres comme lignes !) ou des dessins de la mauvaise main – la gauche pour moi.

Notre confort a aussi été remis en question quand on nous a demandé d’utiliser un double-crayon, de dessiner par terre (bon, ça change pas grand chose pour moi…), de se servir de longs bâtons avec un fusain au bout (alors pourquoi j’étais la seule à avoir du utiliser un bâton super-flexible ?) où à tremper dans de l’encre, dessiner à l’encre avec un bout de carton plié en deux, réaliser un collage depuis un set de papiers que l’on ne choisit pas…

Je sais pas si ce que j’ai fait est vraiment valable, mais c’était vachement drôle ! La session actuelle est basée sur l’étude d’une installation d’objets random en noir et blanc – je suis pas sûre que c’est mon genre de pratique, mais on verra le résultat la semaine prochaine !

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